Si on observe attentivement la nature
ces jours-ci, on ressent comme un léger malaise, un peu comme si cette nature
ne pouvait pas s’exprimer librement, ...
... comme si la végétation était entravée, que
son développement était littéralement inhibé.
En effet, après un automne et un
hiver particulièrement cléments et ensoleillés, nous vivons en ce moment un
printemps spécialement sec. Ceci malgré l’épisode glacial, mais ô combien
magnifique, du mois de janvier.
La végétation a bien démarré, les
floraisons sont splendides, l’herbe est bien verte, les arbustes croissent et
les arbres bourgeonnent. Toutefois le cumul des précipitations depuis la fin de
l’été dernier présente un déficit de l’ordre de cinquante pourcents. Sans
d’abondantes pluies d’ici ce prochain été, celui-ci se révélera particulièrement
aride.
Il faudra alors pallier cette
insuffisance hydrique en prenant les mesures appropriées.
Mais … attendons encore un peu, car tout
peut arriver ! Même une longue période pluvieuse que l’on a de la peine à
s’imaginer aujourd’hui !
En
attendant, excellent et très beau
printemps !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire